Sur cet album venez découvrir les photos de la 20ème édition du Paris Jazz Festival, du 07 juin au 27 juillet 2014.
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Si vous souhaitez obtenir des clichés issus de ce reportage, n'hésitez pas à me contacter par mail (thiebaut_p@yahoo.fr).
Les textes reproduits sur cette page le sont avec l'accord de Pierrette Devineau de CC Productions et sont issus du dossier de presse 2014 de Paris Jazz Festival
07 juin |
Colin Vallon Trio |
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avec Colin Vallon (piano), Patrice Moret (contrebasse), Julian Sartorius (batterie)
Sa modestie naturelle fait de lui l’un des secrets les mieux gardés du prestigieux label ECM. À la tête de son propre trio depuis l’âge de 19 ans, ce natif de Lausanne cultive, à la façon d’un autre Lausannois célèbre, Georges Simenon, l’art de raconter la complexité du monde en usant de phrases simples. Ne nous y trompons pas. Cette science de l’économie est le fruit d’une virtuosité consommée. |
29 juin |
Snarky Puppy |
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avec Michael League (basse), Nate Werth (percussions), Robert “Sput” Searight (batterie), Justin Stanton (trompette), Maz - Mike Maher (trompette), Chris Bullock (saxophone), Cory Henry (claviers), Bill Laurance (claviers), Bob Lanzetti (guitare), Mark Lettieri (guitare)
Le collectif texan du bassiste Michael League aura mis dix ans à imposer ses règles du jeu : le renouvellement permanent de ses membres, la culture de la scène comme terrain privilégié de la création, l’explosion des frontières stylistiques habituelles au profit d’un mix de funk, de jazz et de soul. Grâce à l’engouement du public, alléché par les vidéos du groupe qui tournent sur le net, la formule a fini par payer et c’est avec un Grammy sur sa carte de visite que Snarky fera cet été le tour du monde. |
05 juillet |
Olivier Ker Ourio L’Orkès Peï featuring Sylvain Luc |
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avec Olivier Ker Ourio (harmonica), Thüryn Mitchell (claviers), Jamy Pedro (basse), Emmanuel Felicite (batterie), Nicolas Moucazambo (percussions), Jim Celestin, Alain Chan, Pierre Pothin, Luc Joly (saxophones), Sylvain Luc (guitare)
Depuis son installation en France, Olivier Ker Ourio a conservé des liens étroits avec l’île de la Réunion où ses ancêtres ont pris racine, il y a bientôt trois siècles. L’harmoniciste, en qui beaucoup voient le successeur de Toots Thielemans, a écrit ce projet autour de ce qu’on nomme en créole un « orkès péï ». Exclusivement composée de musiciens réunionnais, cette formation enrichie met son expérience au service de compositions originales, mais aussi de classiques de l’île arrangés par Olivier. L’orkès sera rejoint au Parc Floral par l’ami Sylvain Luc. |
06 juillet |
Pierre de Bethmann Medium Ensemble |
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avec Pierre de Bethmann (piano), Chloé Cailleton (voix), Stéphane Guillaume (flûte, flûte alto, saxophone ténor), Sylvain Beuf (saxophone alto), David El-Malek (saxophone ténor), Thomas Savy (clarinette basse), Sylvain Gontard (trompette, bugle), Denis Leloup (trombone), Camille Lebrequier (cor), Bastien Stil (tuba, trombone), Simon Tailleu (contrebasse), Franck Aghulon (batterie)
À la tête d’un orchestre de douze solistes aux déclinaisons sonores parfois surprenantes, Pierre De Bethmann met en lumière sa science de l’écriture et des arrangements. Entre compositions personnelles revisitées et créations inédites, ce projet puise sa force aussi bien dans les racines du jazz que dans la musique française du début du XXe siècle. Ce concert marquera la sortie officielle de l’album associé. |
20 juillet |
Fatoumata Diawara & Roberto Fonseca |
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avec Fatoumata Diawara (voix et guitare électrique), Roberto Fonseca (piano), Joël Hierrezuelo (percussions), Ramsés Rodrigues (batterie), Yandi Martinez (basse électrique et acoustique), Drissa Sidibe (ngoni et kamale), Sekou Bah (guitare électrique)
Ancienne égérie de Dee Dee Bridgewater et d’Oumou Sangaré, la diva malienne éprouvait l’envie d’une parenthèse après deux années de tournées à guichets fermés. Cet été, elle a choisi de confronter sa tradition wassoulou, largement teintée de folk et de blues, au jazz afro-cubain de l’ancien pianiste du Buena Vista Social Club. Cette rencontre au sommet montre à quel point, par un curieux effet d’écho, l’Afrique et l’Amérique n’ont jamais cessé de se parler. |