Sur cet album venez découvrir les photos de la 6ème édition du festival Jazz au Phare, du 14 au 19 août 2015, au pied du Phare des Baleines sur l'ile de Ré.
Les photos sont présentées par artiste, avec priorité sur les concerts de la Scène du Phare.
Les thèmes transversaux (le "off", les bénévoles, le public, le site) sont regroupés en fin de l'album.
Si vous souhaitez obtenir des clichés issus de ce reportage, n'hésitez pas à me contacter.
Les textes reproduits sur cette page le sont avec l'accord de l'Association Jazz Au Phare et sont issus du site Jazzauphare.com .
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Les concerts en soirée sur la scène du Phare |
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Tania Maria
Avec Tania Maria (chant et piano), Marc Bertaux (basse), Edmundo Carneiro (percussions), Hubert Colau (batterie)
En 1974, Tania Maria enflamme Paris de sa personnalité incandescente. Plus rien ne sera pareil ensuite quand on jouera ou simplement évoquera la musique brésilienne. Durant cette décennie, Claude Nougaro chante « Brésilien mon frère d’armes », Moustaki « Aguas de Março », Bernard Lavilliers, Pierre Barouh, Françoise Hardy après Henri Salvador et Brigitte Bardot chantent aussi des mélodies évoquant le Brésil. Baden Powell et sa guitare révèlent la subtilité des accords issus de la bossa nova. Mais c’est surtout le temps du « Via Brasil » à Montparnasse. Tania Maria incarne la beauté et la force de cette musique, mettant le feu à la baraque chaque soir. Comme nulle autre, elle mélange subtilement samba, funk aux harmonies du jazz. Pianiste inspirée par Mc Coy Tyner et Bill Evans, Tania Maria, au chant, s’invente une voie/voix unique qui la mène sur toutes les plus grandes scènes du monde. L’occasion est belle pour nous de l’entendre dans des conditions vraiment privilégiées, sous le Phare des Baleines, en ouverture de cette soirée « Brazil ». |
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Eliane Elias
Avec Eliane Elias (chant et piano), Marc Johnson (contrebasse), Rubens de La Corte (guitare), Mauricio Zottarelli (batterie)
Cinq fois nommée au Grammy Awards, Eliane Elias est une pianiste de premier plan et une chanteuse de jazz magnifique. Qui d’autre peut désormais chanter The Girl From Ipanema ou Desafinado avec autant de crédibilité et d’authenticité ? Ses albums « Dreamer » puis « Bossa Nova Stories » et « Made In Brazil » ont été de véritables succès qui rappellent à la planète jazz, les origines brésiliennes de cette artiste sensuelle. Ses concerts sont de purs moments de délices et d’humour. Jouant tour à tour sur les registres de la sophistication, de la virtuosité, du charme, de l'humour, du swing, Eliane Elias s’exprime sur des rythmes contagieux et festifs. Son excellent quartet est constitué de son mari (ex-contrebassiste du légendaire trio du pianiste Bill Evans), Marc Johnson, et de deux jeunes talents très prometteurs : Graham Dechter à la guitare et Rafael Barata aux percussions. Son concert à JAZZ AU PHARE est attendu comme un pur moment de grâce ! |
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Daniel John Martin
"Double Cream", avec Daniel John Martin (violon), Gilles Réa (guitare), Rémi Oswald (guitare), Antonio Licusati (contrebasse), Michel Jullien (batterie)
Si l’on connaissait depuis longtemps la précision des archets anglais, on connaissait moins leur éclectisme : le violoniste Daniel John Martin puise son inspiration tant dans la pop anglaise sixties, que dans le jazz poetry d’un Amiri Baraka, le p-funk de Funkadelic et dans les mélopées bluesy des standards du label Blue Note. Un indéniable talent d’auteur compositeur auquel se mêle la voluptueuse légèreté qu’apporte le jeu violonistique qui a fait sa solide réputation et une surprenante voix britannique, aigre douce, façon sauce Worcestershire (Augustin Bondoux). |
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Michel Jonasz
Avec Michel Jonasz (chant et percussions), Jean-Yves D’Angelo (piano)
Quel bonheur de retrouver Michel Jonasz et Jean-Yves D’Angelo juste pour un piano/voix ! Plus qu’un simple concert intimiste, ces deux-là nous présentent un véritable spectacle bourré d’humour et d’histoires. Ils étaient déjà ensemble sur scène il y a trente ans lors de la tournée « Unis vers l'uni ». Leur complicité et leur connivence nous parlent d’émotion et de nostalgie tant leurs chansons sont inscrites dans nos mémoires. Vous retrouverez bien sûr : La Boîte de Jazz, Super Nana, Joueur de blues, Les Fourmis Rouges, Les Vacances au bord de la mer et découvrirez d'autres chansons moins connues mais tellement attachantes. « C’est chaque soir un plaisir renouvelé avec Jean-Yves. Comme s’il respirait ma façon de chanter... comme si je devinais les notes qui vont naître sous ses doigts. Une osmose parfaite ! Et une expérience impitoyable ! La grande force de ce duo est le même amour toujours grandissant et partagé de la musique, et la même envie de ne faire qu’un avec le public. Le succès de ce spectacle vient de cette communion palpable et de notre enthousiasme à nous retrouver de nouveau ensemble sur une scène ! » Michel Jonasz. |
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Molly Johnson
"Because of Billie", avec Molly Johnson (chant), Robi Botos (piano), Mike Downes (contrebasse), Terry Clarke (batterie)
Un grain de voix un rien rocailleux, comme tamisé par l’usure du temps. Une voix parmi les plus belles et les plus authentiques du jazz d’aujourd’hui. Avant de se tourner vers le jazz, la canadienne s’est, dans un premier temps, consacrée au rock et ça s’entend ! Un parcours assumé de femme combative, courageuse, ayant roulé sa bosse loin des paillettes et des strass des divas virtuelles, fabriquées, emballées, marketées. Molly est tout sauf « une chanteuse de plus ! ». Pour fêter le centenaire de son héroïne de tous temps, Billie Holiday, Molly Johnson reprend la route et revient sur notre vieux continent avec un nouvel album déchirant « Because of Billie ». En chantant Lady Day, la belle de Toronto nous fait partager la musique qui a illuminé sa vie. |
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Monty Alexander
Avec Monty Alexander (piano), Hassan Shakur (contrebasse), Dennis Mackrel (batterie), Caterina Zapponi (chant)
JAZZ AU PHARE 2015 s’est ouvert avec un jamaïcain et se referme avec un autre jamaïcain, né le 6 Juin 1944 à Kingstown, le D Day, un signe du destin hautement symbolique pour celui qui défendra la musique de la liberté. Monty Alexander est une légende vivante, il a écrit quelques unes des grandes pages du piano jazz. Installé à New-York dès 1962, il y accompagne régulièrement Frank Sinatra. Son immense carrière est une impressionnante histoire de rencontres musicales, avec Tony Bennett, Nathalie Cole (il assurera la direction artistique de son album en hommage à son père Nat King Cole), Clint Eastwood (il sera le pianiste choisi pour le film Bird en hommage à Charlie Parker), Dizzy Gillespie, Sonny Rollins, Quincy Jones, Ernest Ranglin, Sly and Robbie, Barbara Hendricks, et bien d’autres encore. Retrouver Monty Alexander, c’est la promesse d’une invitation à un concert exceptionnel, un voyage aux frontières du Jazz et des Caraïbes. |
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Le concours jeunes talents au Théâtre de Verdure |
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Lullaby Jazz Trio
Avec Anaïs Naudin (vocal), Rémi Guillou-Keredan (piano), Guillaume Lambelin (contrebasse)
Ce trio constitué de trois musiciens aguerris a déjà bien écumé les scènes régionales. Concerts à l'île de Ré « Riv Jazz » avec le pianiste Thomas Mayeras (en 2009), « Jazz entre les deux tours » et « Jazz in out », puis jams assidues dans la célèbre cave parisienne « Autour de midi et minuit », Lullaby Jazz Trio révèle le talent de la chanteuse Anaïs Naudin, dont les aventures avec Bubble Jazz puis Anaïs Trio, permettent de faire découvrir au public un goût pour l’improvisation vocale en jazz, le « scat » à la manière d’Ella Fitzgerald ou Dee Dee Bridgewater. Un groupe soudé. |
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Tom Ibarra
Avec Tom Ibarra (guitare)
A six ans, il commençait la guitare. A onze, il composait... Pourtant Tom Ibarra ne connaît pas le solfège, il joue d’oreille. Aujourd’hui âgé de 15 ans, le jeune prodige sillonne les festivals. Un rêve pour certains, une réalité pour ce jeune guitariste de jazz. Il a de l’or entre les doigts. La SACEM ne s’y est pas trompée et l’a déjà récompensé deux fois. Son univers musical, c'est un tout petit peu le blues mais c'est surtout le Jazz, tous les Jazz ! Ses influences vont de Wes Montgomery à Stevie Ray Vaughan, Robben Ford à Miles Davis, Weather Report à Pat Metheny, George Benson à UZEB... Un phénomène ! |
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Rémy Béesau Quintet
Avec Rémy Béeseau (trompette & buggle), Pierre Maury (saxophone), Edouard Monnin (piano), Pierre Elgrishi (contrebasse), Vincent Tortiller (batterie)
Ces jeunes musiciens formés au centre des musiques de Didier Lockwood, où ils se sont rencontrés, proposent un jazz aux influences actuelles mais puisant leurs sources au jazz des grands anciens. L'influence de Roy Hargrove ou de Christian Scott est clairement revendiquée dans les compositions du trompettiste rochelais autour duquel le quintet s'est formé. Habitués du Baiser Salé à Paris ou ils se produisent souvent ensemble sous diverses formations, ils proposent un jazz soucieux de placer la mélodie au centre, un jazz joyeux, un jazz qui respire la vie. |
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Hoct'Opus
Avec Florian Lamier (piano & claviers), Paul Cathelineau (basse & guitare), Sébastien Flatreaud (batterie)
L’histoire de ce groupe s’enroule autour de celle du batteur Sébastien Flatreaud. D’un premier duo né en 2005 avec une élève rencontrée dans la classe de percussion du conservatoire de Poitiers, l’orchestre, étoffé, existera sous le nom d’Hoct’Opus dès septembre 2008. Trois disques en poche et, de festivals en belles rencontres, Hoct’Opus existe comme ce jour de mai 2012 où il se retrouve en première partie d’Avishai Cohen. Un groupe-laboratoire où chacun des musiciens vient avec ses compositions, ses influences, ses arrangements de thèmes, ses envies du moment. |
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Les concerts au Théâtre de Verdure et dans les cafés |
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Philippe Audouit
Organ Trio, avec Philippe Audouit (batterie), Pat Giraud (orgue Hammond), John Barton(saxophone ténor)
Ce batteur énergique et passionné n’est autre que le fils du regretté José Cando, saxophoniste légendaire, émule de Sidney Bechet. Désormais président du festival « Jazz à Fouras », Philippe Audouit dirige un orchestre constitué des meilleurs musiciens régionaux, voir nationaux. On a pu entendre Cédric Caillaud auprès de Robin McKelle ou China Moses, Alain Mayeras auprès de Ronald Baker et bien d’autres. La sensibilité de ce batteur /leader et son enthousiasme rayonnent sur tout le Poitou Charentes et sa présence amicale et dynamique vient enchanter la scène du Théâtre de Verdure et, le même soir, celle du Café du Phare. |
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Stefan Patry Hamondeon
Avec Stefan Patry (orgue), René Sopa (accordéon), Gilles Renne (guitare), David Honnet (batterie)
Stefan Patry n’a de cesse de porter son instrument (le mot est faible quand on connaît le poids du dit instrument) sur tous les fonds baptismaux. Il a créé une association « Tribute To Hammond », des soirées « La Ruée Vers l’Orgue », mêlé son Hammond dans différentes formules toutes plus magiques les uns que les autres. « Hammondeon » innove en mixant deux sonorités à la fois proches et distinctes : l’accordéon chromatique et le B3. L’orgue, très puissant, joue de tous ses registres, en contrepoint d’un accordéon virtuose et fougueux. Défilent alors les influences des deux musiciens, Astor Piazzola, Hermeto Pascoal et les valses de Gus Viseur pour l’un, Jimmy Smith, Rhoda Scott ou Jack McDuff pour l’autre. Un concert qui s’écoute comme on part en voyage, les oreilles et les yeux bien ouverts, prêt à tout pour vivre intensément. |
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Thomas Mayeras Trio
Avec Thomas Mayeras (piano), Julien Daude (contrebasse), Germain Cornet (batterie)
Lauréat de notre concours Jeunes Talents Régionaux 2013, voici le trio qui avait enchanté notre jury. Nous écrivions à leur propos : Le son de groupe du trio impressionne...Musicalité, maturité, cohésion et plaisir de jouer sont au rendez-vous. Né d’une rencontre fructueuse il y a 5 ans, le Thomas Mayeras Trio s’inscrit dans le respect de la tradition du Jazz en proposant des versions réarrangées et des compositions originales. Pour information, notre trio d’as a remporté en 2013, coup sur coup, les tremplins de Jazz Au Phare, Cénac Jazz 360 et Pour le Jazz de Lille. Ils ont édité cette année le disque offert par notre partenaire Cristal Prod, JAZZ AU PHARE, persiste et signe : « ces trois-là sont formidables ! |
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Kicca
Avec Kicca (chant), Oscar Marchioni (orgue et claviers), Nicola Tamiozzo (guitare), Hary Gofin (basse), Paulo De Sa Ferreira (batterie)
Sur scène, comme directement débarquée des années 70, celle qui aurait pu être inventée par le couturier et designer Courrèges, impulse une énergie hors du commun. Kicca présente des shows intenses, groovy et explosifs, résolument tournés vers la soul et la pop. La belle italienne a marqué de son énergie la première édition de JAZZ AU PHARE en 2010 et vous n’avez eu de cesse de nous réclamer son retour. La voici, en très grande forme, pour nous présenter son nouveau disque sorti sur le label rochelais, « Cristal Records », partenaire du festival. Gageons que cette nouvelle venue de Kicca à JAZZ AU PHARE, allumera bien de nouvelles passions. |
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Ahmet Gulbay Trio
Avec Ahmet Gulbay (piano), Christophe Levan (contrebasse), Philippe Levan (batterie)
Ce parisien d’origine turque n’a pas son pareil pour mettre l’ambiance au piano. Grand amateur de pianistes, d’Erroll Garner à Monty Alexander, d’Oscar Peterson à Bill Evans, de Phineas Newborn à Ahmad Jamal, Ahmet Gülbay transmet sa passion de l’instrument avec humour et générosité. Grand ami du parrain de JAZZ AU PHARE, Jean Becker, Ahmet est, depuis la première édition, notre mascotte ! |
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Roxanne & Archibald
Avec Roxanne Terramorsi (chant), Nicolas Gardel (guitare), Joachim Govin (contrebasse), Ariel Tessier (batterie)
Roxanne Terramorsi et Nicolas Gardel ont remporté notre concours « Jeunes Talents Régionaux » en 2014 bien qu’il manquait, à l’appel, les deux autres membres de leur groupe, ARCHIBALD. Les voici au complet pour honorer leur Prix. Les quatre musiciens proposent un répertoire de compositions sans frontière stylistique, aux influences allant d’Esperanza Spalding à Camille, en passant par Emiliana Torrini et Mayra Andrade. |
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Xavier Richardeau & Fabien Mary
Tribute to Gerry Mulligan & Chet Baker 4tet, avec Fabien Mary (trompette), Xavier Richardeau (saxophone baryton, soprano et clarinette), Viktor Nyberg (contrebasse), Romain Sarron (batterie)
Deux parmi nos meilleurs solistes français bebop, le trompettiste Fabien Mary et le saxophoniste baryton Xavier Richardeau, ont choisi de rendre hommage au génial quartet de Gerry Mulligan, celui de 1952, avec Chet Baker à la trompette. Ce combo avait défrayé la chronique car il se présentait sans piano, c’est-à-dire, sans instrument harmonique pour soutenir les solistes. Gerry Mulligan avait inventé là une nouvelle manière pour le jazz qui allait enthousiasmer des générations de musiciens. Le répertoire est tout simplement jubilatoire, tout en contrepoint et en finesse. De la dentelle en swing ! |
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Donin
Et ses Bêtes de Swing, avec Donin (chant), Eric Le Louvier (clavier), Claire Bergerault (chant), Christophe Limousin (guitare), Richard Puaud (basse), Patrick Désoyer (batterie)
Chansons d'animaux pas bêtes du tout pour faire bouger les mots et swinguer les mômes ! De Toutenkit le mamouth jusqu'à la mésange mélodieuse, en passant par le mythique Yéti, accompagné par des bonobos, des pandas, des pélicans,… Et même une vache surréaliste ruminant du pain dur sur un mur, les notes « dépotent » et les bêtes font la fête ! |
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Nikki & Jules
Avec Nicolle Rochelle (chant), Julien Brunetaud (piano), Bruno Rousselet (contrebasse), Julie Saury (batterie)
Nikki & Jules nous plongent dans un univers intimiste avec leurs héritages mixtes. Fortement ancrés dans le blues et le jazz, ils nous délivrent un répertoire qui puise dans de nombreux styles. En mélangeant leurs compositions originales avec des reprises remixées, l’expérience sonne comme un voyage intemporel. Quand le jeu de jambes jazz roots de Nikki alias Nicole Rochelle (chanteuse et danseuse américaine qui tenait le rôle de Joséphine Baker dans le spectacle de Jérôme Savary) s’emmêle avec le jeu de doigts soul blues de Jules alias Julien Brunetaud (pianiste, guitariste, chanteur, accompagnateur de Chuck Berry ou BB King, ayant enregistré plusieurs disques à la Nouvelle-Orléans), on laisse « le bon temps rouler ! » |
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Pablo Campos Trio
Avec Pablo Campos (chant et piano), Cédric Caillaud (contrebasse), François Laudet (batterie)
Indéniablement, le chanteur et pianiste Pablo Campos a écouté le grand Nat King Cole. Il en a hérité le sens du trio, celui des Oscar Peterson, Erroll Garner ou Ahmad Jamal. Mais point de nostalgie dans sa musique, sur un répertoire actuel reposant en partie sur des arrangements personnels, le trio de ce jeune artiste de 24 ans, constitué de la fine fleur du jazz hexagonal - Cédric Caillaud à la contrebasse et François Laudet à la batterie - évoque tout autant les meilleurs pianistes contemporains : Ignasi Terraza, Diana Krall, Benny Green, que les meilleurs chanteurs : Harry Connick Jr, Michael Bubblé ou Peter Cincotti. |
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Thierry Bouyer et Les Allumés du Phare
Avec Guy Bodet (trompette), Pascal Faidy (saxophone), Emmanuel Pelletier (saxophone), Thierry Bouyer (banjo), Michel Delage (sousaphone), Catherine Girard (washboard)
Multi-instrumentiste réputé, c’est au banjo que Thierry Bouyer a choisi de diriger cette formation de parade constituée spécialement pour JAZZ AU PHARE avec les meilleurs musiciens du grand ouest. Ils ont choisi naturellement de s’appeler : Les Allumés du Phare. |